Le tableau revu par l’artiste n’a plus rien à voir avec l’original.
EPA/MAXPPP
L'octogénaire a indiqué n'avoir jamais caché ses intentions...
Cecilia Giménez n’est pas contente. Devenue la risée du Web et bien au-delà en raison de sa restauration totalement ratée d’une peinture du Christ datant de 1930, l’octogénaire s’est expliquée mercredi auprès de la télévision espagnole.
Si elle reconnaît avoir bien pris seule l’initiative de restaurer l’œuvre de Elias Garcia Martinez accrochée dans l’église de Borja, près de Saragosse, Cecilia Giménez estime ne pas s’en être cachée. «Le curé le savait et tous les gens qui entraient dans l’église me voyaient peindre, je ne l’ai
jamais fait en cachette», a-t-elle déclarée à la TVE.
Une récidive catastrophique
L’octogénaire a également confessé qu’il ne s’agissait pas de sa première restauration de la peinture qu’elle n’avait d’ailleurs pas terminée. Une information confirmée par la petite fille du
peintre. Sauf que Cecilia Giménez s’est cette fois-ci attaquée au visage du Christ, alors qu’elle se contentait auparavant de donner seulement quelques coups de pinceaux à sa tunique.
La restauratrice amateur n’est pas au bout de ses peines puisque la mairie de Borja n’exclut pas d’engager des poursuites contre elle, considérant l’œuvre comme «totalement détruite», a
rapporté le site RTVE. Malgré
l’âge avancé de Cecilia Giménez, la municipalité ne souhaite en effet pas donner une image d’impunité après cette «agression au patrimoine artistique» de la ville. Une équipe de restaurateurs
professionnels doit intervenir la semaine prochaine pour tenter de sauver le Christ de Borja.
L'octogénaire a indiqué n'avoir jamais caché ses intentions... Cecilia Giménez n’est pas contente. Devenue la risée du Web et bien au-delà en raison de sa restauration totalement ratée d’une
peinture du Christ datant de 1930, l’octogénaire s’est expliquée mercredi auprès de la télévision espagnole. Si elle reconnaît avoir bien pris seule l’initiative de restaurer l’œuvre de Elias
Garcia Martinez accrochée dans l’église de Borja, près de Saragosse, Cecilia Giménez estime ne pas s’en être cachée. «Le curé le savait et tous les gens qui entraient dans l’église me voyaient
peindre, je ne l’ai jamais fait en cachette», a-t-elle déclarée à la TVE. Une récidive catastrophique L’octogénaire a également confessé qu’il ne s’agissait pas de sa première restauration de
la peinture qu’elle n’avait d’ailleurs pas terminée. Une information confirmée par la petite fille du peintre. Sauf que Cecilia Giménez s’est cette fois-ci attaquée au visage du Christ, alors
qu’elle se contentait auparavant de donner seulement quelques coups de pinceaux à sa tunique. La restauratrice amateur n’est pas au bout de ses peines puisque la mairie de Borja n’exclut pas
d’engager des poursuites contre elle, considérant l’œuvre comme «totalement détruite», a rapporté le site RTVE. Malgré l’âge avancé de Cecilia Giménez, la municipalité ne souhaite en effet pas
donner une image d’impunité après cette «agression au patrimoine artistique» de la ville. Une équipe de restaurateurs professionnels doit intervenir la semaine prochaine pour tenter de sauver
le Christ de Borja. L'octogénaire a indiqué n'avoir jamais caché ses intentions... Cecilia Giménez n’est pas contente. Devenue la risée du Web et bien au-delà en raison de sa restauration
totalement ratée d’une peinture du Christ datant de 1930, l’octogénaire s’est expliquée mercredi auprès de la télévision espagnole. Si elle reconnaît avoir bien pris seule l’initiative de
restaurer l’œuvre de Elias Garcia Martinez accrochée dans l’église de Borja, près de Saragosse, Cecilia Giménez estime ne pas s’en être cachée. «Le curé le savait et tous les gens qui entraient
dans l’église me voyaient peindre, je ne l’ai jamais fait en cachette», a-t-elle déclarée à la TVE. Une récidive catastrophique L’octogénaire a également confessé qu’il ne s’agissait pas de sa
première restauration de la peinture qu’elle n’avait d’ailleurs pas terminée. Une information confirmée par la petite fille du peintre. Sauf que Cecilia Giménez s’est cette fois-ci attaquée au
visage du Christ, alors qu’elle se contentait auparavant de donner seulement quelques coups de pinceaux à sa tunique. La restauratrice amateur n’est pas au bout de ses peines puisque la mairie
de Borja n’exclut pas d’engager des poursuites contre elle, considérant l’œuvre comme «totalement détruite», a rapporté le site RTVE. Malgré l’âge avancé de Cecilia Giménez, la municipalité ne
souhaite en effet pas donner une image d’impunité après cette «agression au patrimoine artistique» de la ville. Une équipe de restaurateurs professionnels doit intervenir la semaine prochaine
pour tenter de sauver le Christ de Borja.